Peut-on avoir la mouche à l’oreille ? ¿Puede uno andar con la pulga detrás de la oreja?

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Date

2022

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  • 20.500.13089/13meb
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Marine Poirier, « Peut-on avoir la mouche à l’oreille ? ¿Puede uno andar con la pulga detrás de la oreja? », Presses universitaires de Rennes


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Résumé 0

Dans l’optique de contribuer à la définition et à la problématisation collective de la notion de « représentation », l’article interroge les apports d’une approche dite « non représentationnaliste » du signe en linguistique à l’étude de quelques unités phraséologiques à composante animalière (puce, mouche, rat, huître, etc.) de l’espagnol et du français. On commence par poser les principes du « non-représentationnalisme » en sciences cognitives en général puis en linguistique en particulier, et on avance ensuite la proposition d’analyse. Notre hypothèse est que, au-delà d’une motivation représentationnelle souvent prêtée à ces expressions animalières, ces dernières se comprennent et s’expliquent peut-être aussi par la structure même des signifiants (animaliers) qu’elles font intervenir et par les réseaux analogiques qui se tissent autour de ces signifiants.

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