Suriname’s Cruellest Slave Owner? Maria Susanna du Plessis: Myth and Reality

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2020

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  • 20.500.13089/13vv4
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Pieter Emmer, « Suriname’s Cruellest Slave Owner? Maria Susanna du Plessis: Myth and Reality », Presses universitaires de Rennes


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Résumé Fr En

Le monde colonial néerlandais dépendait de la migration de colons européens, le nombre d’émigrants originaires des actuels Pays-Bas demeurant limité et la République néerlandaise étant réputée pour sa tolérance à l’égard des minorités religieuses et son système de protection sociale complet pour les pauvres. Cela explique pourquoi le nombre de juifs et de huguenots parmi les colons était relativement élevé. Susanna du Plessis fait partie de la communauté huguenote du Suriname. Elle a mutilé et peut-être tué certains de ses esclaves. Sa réputation de propriétaire d’esclaves la plus cruelle de tous les temps fait toujours partie de l’histoire orale populaire du Suriname, mais aucune preuve archivistique ne permet de confirmer une telle affirmation.

The Dutch colonial world depended on the migration of European settlers as the number of emigrants from the Netherland remained limited as the Dutch Republic was known for its tolerance for religious minorities and comprehensive welfare system for the poor. This explains why the number of Jews and Huguenots among the colonists was relatively high. Among the Huguenot community in Suriname, Susanna du Plessis stands out as she maimed and perhaps killed some of her slaves. Her reputation as the cruellest slave owner ever is still part of the popular oral history of Suriname, but there is no archival evidence to support this contention.

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