2020
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/13zbp
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-413-0159-1
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-7751-0
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
Martin Messika, « Chapitre VII. Parler des émotions ou les banaliser : les travailleurs sociaux face aux affects des migrants », Presses universitaires de Rennes
Arrivée en France en provenance de Tunisie en 1956, Louise B., âgée de 31 ans, est, à partir de cette date, prise en charge par le CBIP qui lui accorde une assistance matérielle et l’aide à trouver un travail. Dans le compte rendu du rendez-vous du 21 février 1957, l’intervenante qui s’occupe d’elle relate de la manière suivante le contenu de l’entretien : « Nous trouvons tr[è]s mauvaise mine à Mlle B. Elle semble traverser une période de découragement, dû, semble-t-il, à une d[é]ception d’ordre...