Monuments ou champs de bataille ? Honorer les morts hors de Bretagne durant l’entre-deux-guerres

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  • 20.500.13089/1429c
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Yves-Marie Evanno et al., « Monuments ou champs de bataille ? Honorer les morts hors de Bretagne durant l’entre-deux-guerres », Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest


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Loin de la Bretagne, de nombreux monuments honorent les Bretons tombés au combat. C’est le cas à Attichy et à Moulin-sous-Touvent ; ou encore en Belgique, à Arsimont, à Boesinghe, à Maissin, à Auvelais et à Saint-Charles-de-Potyze. Ces derniers trouvent très rapidement leur place dans le cadre du tourisme mémoriel qui se développe dès la fin du conflit. Or, comment ces édifices lointains sont-ils perçus par les Bretons ? Cet article, centré sur l'Entre-deux-guerres, examine le rôle de ces monuments et leurs visiteurs venus de la péninsule armoricaine, qu'ils soient pèlerins ou touristes. Ces visites relèvent-elles d’un hommage à un proche disparu ou participent-elles d'une mémoire collective du conflit ?

Far from Brittany, numerous monuments honor the Bretons who fell in combat. This is true in places like Attichy and Moulin-sous-Touvent in France, as well as in Belgium at Arsimont, Boesinghe, Maissin, Auvelais, and Saint-Charles-de-Potyze. These monuments quickly became part of the landscape of memorial tourism, which developed shortly after the war ended. But how are these distant monuments perceived by the Bretons? This article, focusing on the interwar period, explores the role of these monuments and the perspectives of visitors from the Armorican peninsula, whether pilgrims or tourists. Do these visits serve as a personal tribute to a fallen loved one, or are they part of a broader collective memory of the conflict?

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