2025
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/142am
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https://doi.org/10.4000/142am
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Il y a trois décennies, le dramaturge Steve Tesich publiait un article dans lequel il avançait l’idée selon laquelle les Américains évoluaient désormais dans un monde rêvé dans lequel la vérité n’avait plus d’importance. Dans une société qui avait porté haut l’idéal démocratique et la promotion de la liberté individuelle, le peuple américain semblait avoir fait le choix de vivre dans un monde où régnait la « post-vérité ». Si le mot paraît alors pour la première fois, il aura fallu attendre deux...