2016
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Gauthier Ambrus, « Vérité et vraisemblance historiques dans la tragédie française de la Révolution à l’Empire », Accademia University Press
Au printemps 1811, Chateaubriand est sur le point d’être reçu à l’Académie française. Mais il doit au préalable s’acquitter d’une tâche aussi difficile que périlleuse: prononcer l’éloge de celui auquel il succédait, Marie-Joseph Chénier, poète de la Révolution et conventionnel «régicide» disparu quelques mois plus tôt. Comment l’auteur du Génie du christianisme pouvait-il saluer dignement celui de Charles IX, sans pour autant ressusciter les querelles politiques que l’Empereur avait ordonné d’étouffer,...