2002
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Martine Sforzin, « Avant-propos », Artois Presses Université
Il faudrait sortir de tout, non pas fermer la porte derrière soi, mais la claquer d’un coup et partir. Et il faudrait que, de soi-même, tout se détache de vous et disparaisse sans bruit. Il faudrait sortir de ces ténèbres qu’il est impossible, qu’il est devenu en fin de compte impossible de maîtriser sa vie durant, et entrer dans ces autres, ces secondes, ces définitives ténèbres que l’on a devant soi et pouvoir les atteindre aussi vite que possible, sans détours, sans arguties philosophiques,...