2003
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1gom
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Bouba Tabti-Mohammedi, « Camus et les écrivains algériens Mouloud Mammeri et Maïssa Bey », Artois Presses Université
Que Camus ait marqué de son empreinte la littérature algérienne malgré l’agacement, pour ne pas dire l’exaspération que font toujours naître certaines pages, nul, désormais, ne songerait à le nier, maintenant que se sont – presque – apaisées les passions et que l’indulgence remplace, en partie, notre intransigeance des débuts. Pour n’être pas toujours aussi profonde que chez R. Mimouni qui trouve chez Camus le soubassement d’une réflexion marquée par le pessimisme lié à la certitude de la défaite...