2002
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1gpn
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https://doi.org/10.4000/books.apu
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Martine Sforzin, « Conclusion », Artois Presses Université
De sensation qui donne naissance à l’œuvre, l’irritation en devient le nœud gordien autour duquel se met en place une éthique de l’art repérable, de Frost à Auslöschung, dans l’évolution du désespoir vers une dédramatisation qui passe par le rire. Bien plus que simple marque d’humeur, l’irritation s’inscrit dès le premier roman dans une stratégie essentiellement négative, destructrice qui évolue, au-delà du roman Korrektur, dans le sens d’un demi-tour dans la direction opposée. Ce dernier se calque...