2001
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1gpp
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Françoise Heitz, « Chapitre II. La violence et la mort : radicalisation et esthétisation », Artois Presses Université
1. Omniprésence de la violence Marsha Kinder indique justement dans son étude sur le cinéma espagnol : « N’importe qui, essayant de décrire les principales caractéristiques du cinéma espagnol, commencera habituellement par son excessive violence ». On a souligné par exemple, à l’occasion du centenaire du cinéma, que le premier film de fiction tourné en Espagne, en 1897, n’était pas (à l’instar de L’arroseur arrosé de Louis Lumière), un épisode comique, mais Riña en un café (Bagarre au café, réalisé...