2018
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Nathalie Ferrand, « Rousseau traducteur de l’italien dans La Nouvelle Héloïse ? ou de la nostalgie des lectrices du Grand Siècle », Artois Presses Université
L’énigme d’une mainDe longue date, la critique considère que Rousseau a fini par traduire en français les extraits de poésie italienne qu’il avait d’abord glissés en langue originale dans la prose romanesque de ses épistoliers en 1761. De cette manière, le code amoureux qui chiffrait les échanges entre St. Preux, Julie et sa cousine Claire allait devenir transparent à tout lecteur. Sur un autre plan, Rousseau – écrivain homme-orchestre – ajoutait ainsi à son rôle d’éditeur de lettres soi-disant...