II - Du village stipendiaire à la ciuitas pérégrine ; la question des “ciuitates pagi”

Fiche du document

Date

2010

Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/1jsh
Relations

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/1kxi

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.ausonius

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-35613-305-2

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-35613-013-6

Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554


Sujets proches Fr

chora

Citer ce document

Samir Aounallah, « II - Du village stipendiaire à la ciuitas pérégrine ; la question des “ciuitates pagi” », Ausonius Éditions


Partage / Export

Résumé 0

GénéralitésLa notion de cité, quel qu’en soit le statut, dépend étroitement de deux critères. La cité n’existe pas sans un territoire défini et délimité avec précision par des bornes. Ce territoire est, comme le montrent les bornes du municipe de Musti et de Sufetula, composé de propriétés publiques, les publica (en principe non divisées), et de propriétés privées appartenant aux cives et aux incolae. La gestion de ce territoire, et c’est là l’autre fondement d’une cité, est confiée aux magistrats...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines