La découverte de la céramique sigillée gallo-romaine : une approche moderne dès les xviiie et xixe siècles

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2015

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  • 20.500.13089/1jx9
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Pierre Pinon, « La découverte de la céramique sigillée gallo-romaine : une approche moderne dès les xviiie et xixe siècles », Ausonius Éditions


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Contrairement à une idée reçue, les connaissances fondamentales sur la céramique sigillée gallo-romaine ne datent pas de la fin du xixe siècle ou du début du xxe avec les publications de H. Draggendorff et de J. Déchelette.Dès le xvie siècle, elle est reconnue comme datant de l’époque romaine. La chronologie est précisée à la fin du xviiie siècle. À la même époque, on découvre que les estampilles sont des marques de potiers et que les vases ornés sont fabriqués dans des moules avec l’aide de poinçons. Des listes de potiers sont établies dès les xviiie et xixe siècles et de nombreux décors sont publiés de manière satisfaisante. Seuls les lieux de fabrication, les officines, ont tardé à être découverts, hormis Lezoux à la veille de la Révolution. Mais au milieu du xixe siècle, les principaux centres sont repérés (Auvergne, Alsace-Rhénanie), à l’exception de ceux de la Gaule du Sud qui devra attendre la fin du siècle.

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