2009
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1uqk
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C’est avant tout par ses premières échappées hors du domaine tonal, de la Symphonie de chambre opus 9 à Erwartung et au Pierrot lunaire, que Schoenberg s’est assuré de notre respect : c’est-à-dire par des œuvres qui, en dehors de la colère et de l’irritation, ont suscité à l’origine une certaine forme de peur, la peur devant une absence de scrupules que ne semblait rebuter le viol d’aucun tabou. Face à la composition avec douze sons, en revanche, un tel comportement se sait déplacé. À sa place...