1987
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1ur8
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Jürg Stenzl, « Risonanze erranti », Éditions Contrechamps
Celui qui connaît les dernières poésies d’Ingeborg Bachmann (1926-1973) et jette ne serait-ce qu’un regard fugitif à ces fragments que Nono a utilisés dans Risonanze erranti (créées le 15 mars 1986 à Cologne) se demandera, stupéfait : « Comment est-ce possible (Goethe/Dallapiccola ou Bachmann/Nono) ? » « La Poésie doit être exorbitante ou ne pas l’être du tout », écrivait Gottfried Benn. Mais comment un compositeur peut-il réduire une « poésie exorbitante », comme celle d’Ingeborg Bachmann, où...