2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1us2
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https://doi.org/10.4000/books.contrechamps
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Charles Rosen, « II. Le sentiment pré-classique », Éditions Contrechamps
Tout étudiant, ou du moins tout licencié en musicologie, est censé savoir que l’esthétique de l’unité de sentiment a dominé la musique du premier XVIIIe siècle, et continue même d’exercer son influence à travers certaines figures aussi tardives que Carl Philipp Emanuel Bach, jusqu’à la fin du siècle. Comme la plupart des généralisations en histoire de la musique, celle-ci appelle quelques nuances. Il y a au moins un genre de pièces où l’unité de sentiment n’avait pas cours, durant ce qu’il est...