2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1us2
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https://doi.org/10.4000/books.contrechamps
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Charles Rosen, « IV. Le style d’ut mineur », Éditions Contrechamps
Ce n’est pas mon propos de suggérer quelque signification profonde ou d’ordre symbolique à attribuer au ton d’ut à la fin du XVIIIe siècle. Mais ut est fondamental pour des raisons techniques, à la fois parce que sa gamme est faite de toutes les touches blanches du clavier, sans altérations de dièses ou de bémols, et qu’elle est la note la plus grave du violoncelle, offrant par conséquent offre la possibilité de jouer sur la sonorité de la corde à vide dans de nombreuses situations d’écriture pour...