2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1us2
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Charles Rosen, « Les langages musicaux d’Elliott Carter », Éditions Contrechamps
Je souhaite ouvrir mon propos en vous présentant des excuses. J’éprouve un certain malaise à jouer la Sonate pour piano d’Elliott Carter avec la partition, m’étant habitué dès le départ à l’interpréter par cœur. Mais j’ai connu avec elle deux expériences affreuses. L’une remonte à ma première exécution de l’œuvre. Alors que je l’avais préparée pour une tournée en Allemagne, je fus invité, de façon inattendue, à la jouer dans le cadre d’un festival de musique contemporaine à Bruxelles. Juste avant...