2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/1xcj
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Agathe Sultan, « Razós de plorar », Casa de Velázquez
« Razos non es, que hom deya chantar / De so don a dolor e marrimen », écrit Paulet de Marselha dans sa déploration sur la mort du seigneur Barral des Baux. Quoique déjà topique, une telle dénégation reste d’actualité en cette fin du xiiie siècle. Autant qu’à la mort elle-même, il est un scandale auquel réagit le poète : le genre littéraire impossible qu’est la chanson funèbre. Si le planh troubadouresque s’inscrit en partie dans la continuité d’autres genres — parmi lesquels le planctus —, sa...