2012
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André Humbert, « Du vol onirique à la contemplation du monde », Casa de Velázquez
La terre, de là-haut, paraissait nue et morte ;l’avion descend : elle s’habille. Les bois de nouveau la capitonnent, les vallées, les coteaux impriment en elle une houle : elle respire. Une montagne qu’il survole, poitrine de géant couché, se gonfle presque jusqu’à lui.Antoine de Saint-Exupéry, Courrier sud.J’ai commencé à rêver de pouvoir voler il y a soixante-dix ans. Je vole depuis plus de cinquante et j’associe le plaisir du vol à mon métier de géographe depuis au moins quarante ans. Sensations...