De Léon Bourgeois à Aristide Briand

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2022

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  • 20.500.13089/20pq
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Christophe Bellon, « De Léon Bourgeois à Aristide Briand », Direction des Archives


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En septembre 1924, Léon Bourgeois et Aristide Briand représentent, côte à côte, la France à la cinquième Assemblée de la Société des Nations. Quelques mois plus tard, en avril 1925, Bourgeois n’est plus. Simultanément, Briand devient, à la suite de son collègue, l’incarnation de la SDN et bientôt, de « l’esprit de Genève ». La popularité du « Pèlerin de la paix » a effacé en partie l’œuvre de Bourgeois. Pour autant, l’Europe de Briand s’inspire profondément de celle de son aîné. Au-delà de leurs différences de tempérament et des quelques désaccords avérés, il ressort de leur carrière respective une proximité de vue et une manière de voir la vie politique – laïque, sociale, diplomatique – au travers du prisme de l’apaisement. En passant de Bourgeois à Briand, l’Europe est passée d’une grande idée à une réalité concrète. Conscient de l’évolution de la géopolitique européenne, Briand n’en a pas oublié pour autant la logique du régime politique français, rappelant à quel point la délibération parlementaire prenait le pas sur la diplomatie.

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