2007
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Pascale Gillot, « Chapitre III. Leibniz et le « système nouveau » de l’union de l’âme et du corps », CNRS Éditions
Les philosophes parmi les plus célèbres de la seconde moitié du xviie siècle, nous l’avons remarqué, n’admettent pas la perspective de l’interaction, et rejettent ainsi la solution cartésienne au problème de l’âme et du corps. Plus précisément, la juxtaposition, dans la philosophie même de Descartes, de la distinction épistémologique moderne de la pensée et de l’étendue d’une part, et de la thèse de l’action réciproque entre l’âme et le corps d’autre part, leur paraît constituer une énigme insoluble.Malebranche...