Chapitre II. Une confrérie ottomane

Fiche du document

Date

2010

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/29f2
Relations

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/232k

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.editionscnrs

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-271-12987-1

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-271-07000-5

Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554

Résumé 0

Dans l’Anatolie ottomane des xvie et xviie siècles, les confréries soufies (tarika, pl. tarikat ; ar. tarîq, pl. turûq) occupent une place importante. C’est un creuset de voies initiatiques à la fois complexes et très vivantes. Hormis les provinces arabes où les confréries installées sont d’origine nord-africaine et irakienne, l’Empire ottoman, dans son espace anatolien, est surtout marqué par les voies d’Orient : la Yeseviye, la Nakşbendiye, la Kubreviye et la Kalenderiye. Jusqu’à une époque récente,...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines