1998
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/2b91
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Jean Chesneaux, « Chapitre II. Effectifs et distribution de la classe ouvrière chinoise », Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales
Il convient, avant de tenter le recensement de la population ouvrière chinoise en 1919, de préciser le sens donné ici à ce terme. On ne peut se satisfaire d’un critère purement technique, et ne prendre en considération que les ouvriers des entreprises industrielles modernisées et mécanisées ; on ne peut non plus recourir simplement à un critère numérique, comme le faisaient à cette époque un certain nombre d’enquêtes chinoises ; l’historien du mouvement ouvrier ne saurait en effet accepter d’exclure...