2011
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/2i58
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Michael Stewart, « Un peuple sans patrie », Éditions de la Maison des sciences de l’homme
Chaque époque – la nôtre n’y échappe pas – se considère comme la dernière à être bénie (et maudite) par la présence des Tsiganes. Qu’ils soient bienveillants ou hostiles, romantiques ou cyniques, les commentateurs ont une opinion bien arrêtée : les « errants du monde » ont enfin été « domestiqués », leur mode de vie est finalement passé de mode, le « temps des Tsiganes » appartient au passé. De telles affirmations, comme bien d’autres relatives aux Tsiganes, reposent sur une connaissance purement...