Chapitre 8. L’humanisation morale de la nature comme « effet réversif » de l’évolution : la lecture de Charles Darwin par Patrick Tort

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2014

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  • 20.500.13089/2ew5
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André Stanguennec, « Chapitre 8. L’humanisation morale de la nature comme « effet réversif » de l’évolution : la lecture de Charles Darwin par Patrick Tort », Éditions de la Maison des sciences de l’homme


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Pendant longtemps, Charles Darwin, mal lu par l’économiste Herbert Spencer, a été interprété comme un savant légitimant la valeur positive de la morale de ceux qui sont socialement dominant dans les sociétés humaines. L’argument supposé être celui de Darwin était le suivant : l’évolution favorise par la sélection naturelle les individus les mieux adaptés aux changements de leur environnement et élimine peu à peu les individus faibles et démunis de défense, considérés comme les moins bien adaptés....

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