2021
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/2iaw
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.editionsmsh
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7351-2822-8
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7351-2735-1
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Isabelle Tillerot, « Conclusion. De l’arbitraire en toute chose », Éditions de la Maison des sciences de l’homme
L’histoire des beautés arbitraires se tisse à partir de l’altérité par rapport à la règle, puis les soucis qu’elle recouvre se mêlent et se confrontent à la mesure et à la démesure, à la vraisemblance et à l’invraisemblance. Lorsque, des deux dessins pour la façade orientale du Louvre que lui présente Colbert, Louis XIV retient celui « orné d’un ordre de colonnes formant péristyle ou galerie au-dessus du premier étage », il fait davantage qu’exprimer un goût. Cette partie doit être signifiante...