2022
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/2iep
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Thomas Kirchner, « 8. L’arrière-plan du portrait », Éditions de la Maison des sciences de l’homme
Cependant, compléter un portrait par de somptueuses draperies et des allusions à l’Histoire ou à la mythologie n’était pas la seule façon d’en accroître la dimension artistique. Il existait une autre forme, moins éclatante mais plus subtile et délicate, utilisée en particulier pour les portraits étroitement cadrés, qui consistait à composer avec les moyens de la peinture un arrière-plan le plus sobre possible, voire souvent indéfinissable. Ce défi se posait à l’extrême lorsqu’un commanditaire n’était...