2022
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Thomas Kirchner, « 12. Physiognomonie et portrait », Éditions de la Maison des sciences de l’homme
Les représentations d’un souverain ou d’un criminel constituent assurément des cas particuliers. Elles n’en soulèvent pas moins la question de savoir si – et, le cas échéant, comment – les qualités ou les défauts moraux d’une personne peuvent se lire sur son aspect extérieur. La physiognomonie promettait une réponse à cet égard. La discipline n’en était qu’à ses balbutiements, même si l’Antiquité avait déjà formulé des réflexions sur le rapport entre le caractère d’un homme et son corps, et en...