2003
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Julien Leclercq et al., « Impressionnistes et néo-impressionnistes », Éditions Rue d’Ulm
La première exposition de la Société des artistes indépendants, en 1884, était un véritable manifeste des néo-impressionnistes, à commencer par Signac et Seurat. En 1890, ils sont toujours présents dans les salles du Salon des indépendants. Julien Leclercq exprime une opinion commune à tous les critiques du Mercure de France : le rejet de ce néo-impressionnisme reposant sur des principes scientifiques, c’est-à-dire sur ce qu’il considère comme le contraire même de l’art.Passons sans y séjourner...