2022
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Julien Zanetta, « Chapitre 4. La pensée barbouillée », Éditions Rue d’Ulm
Il entre de tout dans le barbouillage, et surtout de la maladresse. Au xviiie siècle, le Dictionnaire portatif de peinture de Pernety en parle comme d’un « terme de mépris » issu du jargon d’atelier, destiné à condamner un « mauvais tableau », une « peinture d’enseigne à bière ». Furetière indique qu’il s’applique aussi aux auteurs qui écrivent « des choses qui ne valent rien », gâchant par là leur encre inutilement. Le verbe barbouiller unit peinture et écriture en leur essence la plus matérielle :...