Chapitre 4. La pensée barbouillée

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2022

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  • 20.500.13089/2mmm
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Julien Zanetta, « Chapitre 4. La pensée barbouillée », Éditions Rue d’Ulm


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Il entre de tout dans le barbouillage, et surtout de la maladresse. Au xviiie siècle, le Dictionnaire portatif de peinture de Pernety en parle comme d’un « terme de mépris » issu du jargon d’atelier, destiné à condamner un « mauvais tableau », une « peinture d’enseigne à bière ». Furetière indique qu’il s’applique aussi aux auteurs qui écrivent « des choses qui ne valent rien », gâchant par là leur encre inutilement. Le verbe barbouiller unit peinture et écriture en leur essence la plus matérielle :...

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