L’héritage byzantin dans l’architecture de l’entre-deux-guerres en Grèce

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2013

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  • 20.500.13089/2ngj
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Maria Kambouri-Vamvoukou, « L’héritage byzantin dans l’architecture de l’entre-deux-guerres en Grèce », École française d’Athènes


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Résumé 0

En Grèce dans l’entre-deux-guerres, un regain d’intérêt pour l’histoire nationale a conduit à reconsidérer l’architecture byzantine. Ce phénomène s’accompagne de l’émergence du style néobyzantin. Son développement ne fut pas aussi considérable que celui du style néoclassique. Toutefois, on trouve des exemples dans des domaines aussi divers que surprenants : établissements scolaires, banques, pavillons internationaux… Cet essor est lié aux courants intellectuels de l’époque et en rapport étroit avec le « retour aux sources » de la culture grecque, qu’on a aussi appelé la « grécité ». Cette question occupa les architectes, en particulier Aristotélis Zachos (1872-1939), qui s’appuie sur une étude solide de l’héritage architectural de Byzance. D’autres intellectuels suivront les traces de Zachos dans les années 1920-1930. Des exemples d’architecture néobyzantine apparaissent aussi bien dans l’architecture religieuse que dans l’architecture civile, et dans certaines villes où ses principes semblent appliqués à l’échelle du plan et de l’unité urbaine.

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