2021
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Vincent Puech, « Constantin et les païens : un dominus très libéral », Publications de l’École française de Rome
Constantin a lui-même adopté le christianisme dès 312, mais il prit garde que la population de l’empire restait majoritairement païenne. Dans le domaine du culte impérial, il chercha à prohiber les sacrifices sanglants, mais se résolut à accepter d’autres manifestations et offrandes héritées du paganisme. La fondation de Constantinople reposa d’abord sur des cérémonies païennes, l’implantation de cultes romains et la préservation des cultes locaux. Enfin, la vaste gamme des cultes païens fut largement tolérée, à l’exception de pratiques jugées moralement dangereuses, qu’il s’agisse de magie, de divination ou de déviances sexuelles.