2018
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Jean-François Chauvard, « Chapitre 2. La succession fidéicommissaire », Publications de l’École française de Rome
C’est avec la mort du testateur que le fidéicommis prend vie. Puis, c’est la mort du titulaire qui ouvre la succession à l’appelé suivant conformément à l’ordre pré-établi. Or cet enchaînement que le testateur a anticipé dans ses conjectures ne va pas de soi. Il requiert l’intervention de l’État à chaque substitution selon une procédure codifiée, parfaitement assimilée par les familles.À la différence d’une succession ordinaire, il n’y a pas d’identité, au sens juridique, entre le défunt et l’héritier...