2005
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/2s90
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Dominique Longrée, « « Relatifs de liaison » et temps verbaux chez les historiens latins », ENS Éditions
Si l’on examine la ponctuation adoptée par les éditeurs des historiens latins, on constate que, généralement, ceux-ci opposent assez clairement, d’une part, des propositions relatives à l’indicatif en fin de phrase, comme quae […] habebat […] et quo auctore […] peruerterat,1. Certamen utrique unum erat contra ferociam Agrippinae, quae […] habebat in partibus Pallantem, quo auctore Claudius nuptiis incestis et adoptione exitiosa semet peruerterat. (An., 13, 2, 2)Ils menaient tous deux le même combat...