2008
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/2shd
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Julien Langumier, « Conclusion générale : appréhender la catastrophe en ethnologie », ENS Éditions
Sans aller jusqu’à proposer une anthropologie de la catastrophe, comme on a pu discuter la possibilité d’une anthropologie de la ville ou seulement d’une anthropologie en ville (Raulin 1994), peut-on, à partir de l’ethnographie du village de Cuxac-d’Aude, faire des événements survenus en 1999 un « objet » en ethnologie ? La spécificité du matériau montre combien il est difficile de se maintenir dans les frontières de la discipline tant le pathos de la catastrophe paraît, à première vue, se soustraire...