2010
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Frédéric Sounac, « Mélophobie « critique » et modèle musical dans L’Homme sans qualités de Robert Musil », Éditions et Presses universitaires de Reims
Pour qui se veut attentif à l’histoire des représentations de la musique et des discours tenus à son sujet dans le roman, la lecture de L’Homme sans qualités équivaut de prime abord à une longue dissonance. En effet, alors que la tendance post-romantique à l’absolutisation de l’art des sons s’observe aisément – et de manière somme toute prévisible – chez Thomas Mann, Hermann Hesse, Romain Rolland, Proust, Joyce et Hermann Broch, pour ne mentionner qu’eux, elle fait nettement défaut chez Musil,...