2013
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Michel Arrivé, « Toponymie et littérature », Éditions et Presses universitaires de Reims
Je tiens qu’en littérature, la géographie, c’est la toponymie. Mais une toponymie qui, sans le moins du monde la récuser, ne se confond pas avec celle que pratique la respectable corporation des toponymistes, illustrée notamment, dans La Recherche du temps perdu, par la noble figure de Brichot. Pour justifier mon assimilation entre géographie et toponymie littéraires, j’utiliserai exclusivement l’argument d’autorité. Mais pas n’importe quelle autorité : celle de Marcel Proust. Je ferai d’ailleurs...