2009
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Sandra Iché, « Annexe 8. Numéro spécial du Mulhaq Al Nahar consacré à L’Orient-Express, édition du 12 mars 1998 », Presses de l’Ifpo
Ci-après, traduction des textes d’Élias Khoury (texte du haut) et Samir Kassir (texte du bas), par Simone Mamarbachi.L’éloge funèbre de L’Orient-ExpressSes compagnons improvisent et écrivent le rêve et le désespoirpar Élias KhouryLa mort est le plus grand signe de présence. Cela ne s’applique pas uniquement à l’humain, mais également à son oeuvre. Et quand meurt une revue, en laissant du vide et du silence autour d’elle, cela signifie qu’elle a pénétré la mémoire. Sa vie n’est plus l’otage de sa...