2005
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Catherine Mayeur-Jaouen, « Les processions pèlerines en Égypte : pratiques carnavalesques et itinéraires politiques, les inventions successives d’une tradition », Presses de l’Ifpo
À lire les descriptions des mouleds égyptiens coptes et musulmans du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle, les processions finales constituaient le clou de ces fêtes patronales, au même titre que la grande nuit qui les précédait. Et c’est dans une « foule de Jugement dernier » (comme l’écrit ‘Abd al-Hakim Qassem en évoquant le mouled de Tantâ dans les années 1940-1950) qu’avaient lieu ces défilés aux sens multiples qui duraient des heures, et parfois toute une journée. Rien à voir...