2019
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/3asa
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Frédéric Lagrange et al., « Albert Cossery écrit‑il arabe ? », Presses de l’Ifpo
Les mérites d’Albert Cossery sont nombreux. Le plus grand, à mon sens, est d’avoir surmonté la tentation du pittoresque, et de nous avoir épargné les inévitables scènes folkloriques auxquelles croient devoir sacrifier les écrivains qui traitent de l’Orient. Lorsque Cossery parle de quelqu’un qui fume la “ghoza”, il ne cherche pas à centrer l’attention sur ce détail ni à en tirer une diversion distrayante ; on peut impunément remplacer le mot “ghoza” par le mot pipe, sans rien changer à la tonalité...