2017
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/3odg
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https://doi.org/10.4000/books.irdeditions
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Éric Roose, « Conclusions de la troisième partie », IRD Éditions
Le mode de gestion de la biomasse disponible induit des techniques culturales adaptées. Le fumier par exemple doit être enfoui si on ne veut pas perdre une bonne partie de l’azote, du carbone et des bases par érosion, lessivage ou gazéification. Par ailleurs, le semis direct est associé à une litière vivante ou morte. Mais si on ne dispose pas d’assez de biomasse, comment assurer la couverture du sol et l’affourragement du bétail jusqu’à la fin de la saison sèche ? Il y a des choix à faire.Le labour...