2011
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/3y26
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Benoît Garnot, « Conclusion », LARHRA
Dans la France d’Ancien Régime, la hiérarchie légale des crimes s’axait autour de l’absolutisme progressant, puis triomphant. La clé de voûte du système était la lèse-majesté divine et humaine, parce que Dieu était présenté comme la clé de voûte de l’ordre universel et le roi comme celle de l’ordre social. Au xvie siècle, l’hérésie, prise en main par la justice royale, apparaît comme un crime abominable ; à la fin du xviie siècle encore, le roi absolu ne peut pas tolérer la dissidence religieuse,...