2017
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/4079
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Yannick Scolan, « Chapitre premier. Un marginal au Banquet : Socrate », Les Belles Lettres
Une injustice criante a longtemps conduit à considérer, à la suite de Plutarque et d’Athénée, que le Banquet de Xénophon n’était que le résultat de la rivalité jalouse que son auteur aurait nourrie à l’égard de Platon et de son dialogue sur l’amour. Il a donc fallu comparer les deux ouvrages, applaudir au génie de l’un et regretter la fadeur de l’autre, auquel on n’a cessé de concéder, pourtant, une proximité plus grande avec la réalité qu’on a supposée avoir été celle de Socrate. Au premier les...