2008
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/45fb
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.msha
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-85892-495-0
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-85892-352-6
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Jean-François Baillon, « Retraduire la science. Le cas de l’Optique de Newton, de Pierre Poste (1720) à Jean-Paul Marat (1787) », Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine
L’Optique d’Isaac Newton, dont la première édition fut publiée en 1704 à Londres, constitue un cas relativement rare de retraduction d’un traité scientifique dans la même langue, dans un intervalle de temps restreint. La traduction publiée dans l’anonymat par Jean-Paul Marat en 1787, seulement trois quarts de siècle après celle de Pierre Coste, publiée en 1720, se veut en effet une nouvelle traduction du même texte. La comparaison des deux traductions entre elles et avec l’original anglais a déjà...