Délimiter, occuper ou transmettre un terrain en pays kanak : l’exemple d’Ouvéa, ancienne « réserve indigène »
Fiche du document
2015
- 20.500.13089/49ur
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/49rr
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pacific
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-9563981-4-1
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-9537485-4-3
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Sujets proches
Commonwealth, The Administration État, Théorie de l' Théorie de l'État Autorités publiques Autorité publique Puissance publique Pouvoirs publicsCiter ce document
Mélissa Nayral, « Délimiter, occuper ou transmettre un terrain en pays kanak : l’exemple d’Ouvéa, ancienne « réserve indigène » », pacific-credo Publications
Partage / Export
Résumé
1. Introduction Deux ans après la prise de possession de la Nouvelle-Calédonie par l’État français en 1853, celui-ci s’approprie l’intégralité de ce territoire sur lequel vivaient jusque-là les Kanaks. Leurs terres deviennent ainsi « propriété de l’État français », lequel les destine à une population européenne nouvellement arrivée (militaires, bagnards ou colons). Le système foncier constituant un aspect central de « la coutume » kanake, les spoliations foncières ont alors des répercussions sociales...
