1999
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/4c7m
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pressesenssib
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-37546-161-7
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-910227-25-8
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Gérard Martin, « D. Les frontières de la collecte ou du bon usage de l’exhaustivité L’exemple du fonds Rimbaud à la Bibliothèque municipale de Charleville-Mézières », Presses de l’enssib
En marge des documents édités sous une enseigne connue ou aisément identifiable et qui, de ce fait, bénéficient d’une sorte de reconnaissance, la littérature grise est le domaine par excellence du non-repérable et du non-quantifiable. Pourtant, la collecte de cette « littérature » reste une démarche indispensable à l’enrichissement d’un fonds spécialisé. Elle permet de mettre à la disposition des chercheurs des documents qui constituent parfois le premier stade d’une recherche, ou ses seuls témoins,...