D. Les frontières de la collecte ou du bon usage de l’exhaustivité L’exemple du fonds Rimbaud à la Bibliothèque municipale de Charleville-Mézières

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Date

1999

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  • 20.500.13089/4dvy
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Gérard Martin, « D. Les frontières de la collecte ou du bon usage de l’exhaustivité L’exemple du fonds Rimbaud à la Bibliothèque municipale de Charleville-Mézières », Presses de l’enssib


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Résumé 0

En marge des documents édités sous une enseigne connue ou aisément identifiable et qui, de ce fait, bénéficient d’une sorte de reconnaissance, la littérature grise est le domaine par excellence du non-repérable et du non-quantifiable. Pourtant, la collecte de cette « littérature » reste une démarche indispensable à l’enrichissement d’un fonds spécialisé. Elle permet de mettre à la disposition des chercheurs des documents qui constituent parfois le premier stade d’une recherche, ou ses seuls témoins,...

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