2004
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Gérard Dédéyan, « De la prise de Thessalonique par les Normands (1185) à la croisade de Frédéric Barberousse (1189-1190) : le revirement politico-religieux des pouvoirs arméniens », Éditions de la Sorbonne
Les relations des Arméniens avec les Grecs s’étaient profondément altérées, en raison de persécutions et d’exigences de toutes sortes, avant le milieu du xiie siècle : en 1145, le catholicos Grigor III avait envoyé un légat – peut-être son frère et coadjuteur Nersês Chenorhali – auprès du pape Eugène III, à Viterbe.La montée de la menace des Zengides – avec l’unification de la Syrie musulmane, en 1154, grâce à la conquête de Damas, nouvelle capitale après Alep – va amener les États chrétiens –...