2012
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/4k66
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Aurélie Damet, « Conclusion », Éditions de la Sorbonne
Les violences familiales sont au cœur de l’éducation, de la culture et du quotidien des Athéniens de l’époque classique. Bercés par les mythes homériques et hésiodiques, les Athéniens rendent quotidiennement hommage à un panthéon qu’ils savent conflictuel. Les divinités domestiques, que l’oikos invoque fréquemment, rappellent à la famille l’importance de la cohésion religieuse du groupe parental. Toute entrave à l’harmonie familiale risque de courroucer autant Zeus, Apollon, Athéna que les Érynies....