2009
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Francine Markovits, « Une figure paradoxale des Lumières : l’aveugle », Éditions de la Sorbonne
La question est de savoir pourquoi « le problème de l’aveugle » est en quelque sorte « daté » de l’époque de Locke et de Molyneux, Mérian emploie même un pluriel générique : « des Locke et des Leibniz » où se découvrent, on le verra, des systèmes d’alliances : Locke/Descartes et Condillac/Leibniz. Pourquoi ce moment est-il significatif pour faire le tableau de l’esprit humain si ce n’est parce qu’il est en quelque sorte un moment critique ?On sait que le troisième trope de Sextus Empiricus (Hypotyposes,...